En matière d'accès à l'eau il disposait de 7 puits, dont les profondeurs varient entre 15 et 27 mètres. Les eaux souterraines captées par ces puits peu profonds sont d’une qualité moindre : pour la consommation, elles doivent être décantées ce qui n'empêche en rien la permanence de maladies hydriques. De plus elles sont sujettes à une variation saisonnière : durant les mois secs et chauds, à savoir, mars–avril–mai, 5 de ces puits s'assèchent peu à peu. On n'y observe aucune culture de contre-saison.
Nous sommes en présence d'un contexte où il y urgence à intervenir.